État des lieux de l’enseignement du français
Date de soumission : 19/09/2016
LVE 1 (préciser) | LVE 2 (préciser) | LVE 3 (préciser) | LVE 4 (préciser) | Commentaires | |
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Primaire | Français | Anglais | |||
secondaire | Français | Anglais | Allemand | Espagnol | |
Supérieur | Français | Anglais | Allemand | Italien |
LVE 1 (préciser) | LVE 2 (préciser) | LVE 3 (préciser) | LVE 4 (préciser) | Commentaires | |
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Primaire | |||||
secondaire | |||||
Supérieur |
2.3. Effectifs des apprenants de français*
Préscolaire | Primaire (école de base) | Secondaire |
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3ème année du primaire
3-5 heures
3.1.1. Enseignement public
Préscolaire | Primaire (école de base) | Secondaire |
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3.1.2. Enseignement privé
Préscolaire | Primaire (école de base) | Secondaire |
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Seconde place (sauf dans le Supérieur : 1ère place pour quelques spécialités).
Supérieur (universitaire)
00
Autre langue 1 (préciser) | Autre langue 2 (préciser) | Autre langue 3 (préciser) | Commentaires | |
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Primaire | ||||
secondaire | ||||
Supérieur | Anglais |
Non
3.5.1. Établissements nationaux
Désignation | Cycles (niveaux) | Nombre d’élèves |
---|---|---|
Nombre total d’apprenants
Préscolaire | Primaire | Secondaire |
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3.5.2. Cursus professionnels en français (à extraire du total mentionné ci-dessus en précisant leur objet : hôtellerie, tourisme…)
Intitulé du certificat | Effectif |
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3.5.3.1. Quel est l’effectif concerné par niveau ?
Niveau | Nombre d’heures/semaine | Effectif |
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3.5.3.2 Quelles sont les DNL (disciplines non linguistiques) proposées en français ?
Niveau | Nombre d’heures/semaine | Effectif |
---|---|---|
3.6. Établissements français
Primaire | Secondaire | Supérieur |
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3.7. Autres établissements internationaux (en dehors des établissements homologués par la France)
Désignation | Statut (public, privé, étranger) | Nombre d’élèves |
---|---|---|
Oui
Juin 2011
Oui
Oui
Oui
A la francophonie comme concept, non. Aux pays et auteurs francophones, oui (diversité culturelle oblige)
Directement, non, mais en fonction des contextes à étudier, parfois oui, par le biais de supports audio (chanson française, comptines).
Bon nombre d’enseignants ont recours aux ressources en lignes mais sans vraiment distinguer celle relevant de la francophonie avec d’autres.
Oui . Les enseignants puisent de ci et de là, Comme certains liens « éducatifs » partagés par des collègues sur les réseaux sociaux.,avec liberté mais en n’oubliant pas d’avoir un œil sur les programmes officiels.
En général, les objectifs des programmes, organisés en compétences à installer tendent à donner un comportement à l’apprenant (l’élève, préfère-t-on d’appeler parfois) lui conférant un profil donné dans le temps (savoir, savoir-faire, savoir-être). Ce même profil revêt une capacité d’intégration à la fois intra-scolaire et extra-scolaire. C’est pourquoi d’ailleurs, les programmes du français sont intrinsèques, voire inhérents aux autres programmes des autres matières scolaires et culturelles au sein de l’école.
En parallèle, ou même en contraste, avec les « rigueurs » des programmes officiels, bon nombre d’enseignants vont sur d’autres perspectives anticipant un apprentissage (ou un enseignement) « nouveaux » (TICE, correspondances de classes, échanges avec d’autres groupes d’intérêt commun, etc).
En parallèle, ou même en contraste, avec les « rigueurs » des programmes officiels, bon nombre d’enseignants vont sur d’autres perspectives anticipant un apprentissage (ou un enseignement) « nouveaux » (TICE, correspondances de classes, échanges avec d’autres groupes d’intérêt commun, etc).
5.1. Nombre
Primaire | Secondaire | Supérieur |
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23996 | 31839 |
Oui
Oui
Dispenser des cours de soutien, « écrivain public », commerce, …
Oui
40000,00 dinars algériens (soit : 376 €)
Généralement, il y a deux générations
d’enseignants : ceux qui ont suivi une formation dans les instituts technologiques (des écoles nationales) et ceux qui sont directement intégrés dans le métier sans aucune formation préalable mais qui ont suivi des séminaires organisés par les inspecteurs.
d’enseignants : ceux qui ont suivi une formation dans les instituts technologiques (des écoles nationales) et ceux qui sont directement intégrés dans le métier sans aucune formation préalable mais qui ont suivi des séminaires organisés par les inspecteurs.
De un à deux ans, selon la programmation des inspecteurs. Une
Commission de titularisation désignée par la DE (direction de l’éducation ou « académie ») et composée de l’inspecteur de la matière et d’au moins deux enseignants (titulaires et ayant une expérience de plus de trois ans) inspecte le futur titulaire sur deux séances (= heures) dont l’une est un compte-rendu de devoir (composition trimestrielle ou expression écrite). Suit une « mise au point » sous forme de séance orale où l’enseignant est invité à répondre aux différentes questions et remarques de la commission. Parfois ces commissions ne sont que formalités puisque le besoin en enseignants dans des écoles rurales s’impose et il serait inconvenable de « recaler » en titularisation un enseignant qui « colmate les brèches du manque d’effectifs ».
Commission de titularisation désignée par la DE (direction de l’éducation ou « académie ») et composée de l’inspecteur de la matière et d’au moins deux enseignants (titulaires et ayant une expérience de plus de trois ans) inspecte le futur titulaire sur deux séances (= heures) dont l’une est un compte-rendu de devoir (composition trimestrielle ou expression écrite). Suit une « mise au point » sous forme de séance orale où l’enseignant est invité à répondre aux différentes questions et remarques de la commission. Parfois ces commissions ne sont que formalités puisque le besoin en enseignants dans des écoles rurales s’impose et il serait inconvenable de « recaler » en titularisation un enseignant qui « colmate les brèches du manque d’effectifs ».
Oui
Oui
Oui
Séminaires, universités, regroupements régionaux
Non
Oui
Tableau instituts formation
Désignation | Effectifs année 1 | Année 2 | Année 3 | Année 4 et + |
---|---|---|---|---|
Oui
Filières francophones
Désignation | Effectifs année 1 | Année 2 | Année 3 | Année 4 et + |
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Médecine | ||||
Journalisme | ||||
Droit des affaires |
Économique |
Culturelle |
Démocratique |
Autres |
Varier leur culture, s’ouvrir à l’espace francophone (sans y adhérer philosophiquement), s’enrichir en documentations, s’investir avec la composante « langue française » dans des domaines à intérêt personnel.
Les élèves motivés sont conscients que la langue d’enseignement dans les filières universitaires (de prestige) tel que « médecine » ou « ingéniorat », est le français ou l’anglais. D’autres pensent aussi à faire leurs études sous d’autres cieux…
Ils ont aussi un besoin à avoir une deuxième langue (étrangère) pour tenter de pallier à leur manque culturel en milieu algérien (comme langue).
Ils ont aussi un besoin à avoir une deuxième langue (étrangère) pour tenter de pallier à leur manque culturel en milieu algérien (comme langue).
Comptant sur l’autoroute de l’information, sur les ambitions d’une catégorie considérable de public algérien cultivé (enseignants, journalistes, médecins, ingénieurs,...etc), sur des personnalités politiques influentes et qui sont POUR l’ouverture culturelle sur le monde francophone, mais aussi sur la coopération d’opérateurs étrangers (institutions françaises, organisations), l’enseignement du français pourra occuper une place considérable dans le scolaire – et pourquoi pas l’éducatif en général - algérien et côtoiera même les langues actuellement véhiculaires (notamment l’arabe). Déjà, comme nous l’avons signalé dans ce document, le français véhicule bon nombre de connaissances dans nos universités.
Que le français occupe une troisième place dans le panel linguistique algérien (après l’arabe et l’amazighe).
Les résultats scolaires témoignent de la situation alarmante, pendant et en fin de cursus (primaire, moyen et secondaire). Les potentialités bien que minimes existent pour tenter de redresser la barre…